top of page
  • Facebook Social Icône
  • Icône sociale YouTube
  • Instagram
BANNIERE LES AVENTURES DE CHARLIE MASTER VIVRE ET AGIR.png

"Voyager, c’est partir à la découverte de l’autre. Et le premier inconnu à découvrir, c’est vous." -Oliver Föllmi-

Partie 2

DSC02166.JPG

2020

La prise de conscience

La rencontre

L’épidémie ravage la planète et désunit les humains, nous prenons conscience comment le monde peut basculer aussi rapidement. À vrai dire, si comme tout le monde je suis affecté par ce qui cet événement, il n’interfère en rien sur ma façon de vivre, je n’écoute guère les directives d’un gouvernement outrancier et dont je suis en désaccord, personne n’interdira mes sorties avec Charlie, je passe la plus grande partie de mon temps dans la nature, loin des hommes, avec ou sans Charlie car j’ai la chance d’habiter dans un bel endroit proche d’un fleuve où je vais souvent nager pour oublier mon chagrin encore présent. Je vais mieux, mais je dois me reconstruire, lentement… comment ?

C’est en cette première moitié d’année, lors d’une de mes escapades en solitaire à revasser au bord de l’océan que je vais faire une belle rencontre, une de celle que l’on n’oublie jamais, LA rencontre qui changera à tout jamais la destinée de ma vie.

Saint Jacques

01 Juillet 2020

Malgré mon choix d’isolement, 2019 et 2020 ont été propices à d’abondantes rencontres, toutes sont importantes, il y a principalement celle qui me fait connaitre ma meilleure amie, à qui je dois la plus grande reconnaissance, celle qui a été là dans mes moments difficiles, celle que j’ai aimée, qui m’a fait oublier mes peines, m’a redonné le sourire et un peu de joie de vivre, à toi, Tavaritch, merci.

 

Et puis, il y a encore celle-ci qui est venue transformer ma vie, le jour où cette planète n’allait pas bien, ce monde où il fallait suivre les injonctions de quelques tyrans autocrates qui séquestraient leur peuple en otage parce qu’ils avaient la trouille, tremblant dans leurs discours inquisiteurs depuis leurs piédestaux. Ce même jour où mon chemin revêtait une autre direction et m’ouvrait la voie vers la compréhension. Celle du monde, et celle de ma vie, je découvrais d’autres alternatives, plus proches de moi, et davantage véritables.

 

Nous l’avons décidé, nous partons sur le chemin de Compostelle, un peu à l’improviste, il est vrai, sans préparation ni réflexion. Compostelle a toujours été l’un de mes rêves, en 2017, j’avais croisé lors d’un road trip près de Pampelune, des flopées de ces pèlerins joyeux et emplis de liberté, sac au dos, galopant leur bonheur insouciant, leur euphorie m’avait fait promettre qu’un jour, moi aussi j’expérimenterai ce chemin.

 

Nous ne choisissons pas la facilité, nous n’avons que 15 jours pour préparer notre barda, nous partons ex nihilo. Nous stationnerons Charlie à Saint-Jean-Pied-De-Port, nous dormirons en toile de tente durant la majeure partie de notre parcours.

 

 si, les cheveux de mon amie Sylvie sont normaux

Le chemin m'ouvre à la compréhension de ce monde stupide dans lequel je vis, dont je fais partie et dont je contribue, je ressens le besoin de m’en délester.

 

Avant mon départ, j’ai confié à ma psychologue mon désir de partir pour oublier mes problèmes, à ce, elle m’avait répondu : Vous allez les emmener avec vous et ils ne se résoudront pas.

Elle avait tellement raison, j’ai bien emmené mes problèmes avec moi, mais elle avait tellement tort, je les ai abandonnés sans regret au bord du chemin.

 

Ma maison je la porte sur le dos, le principal vital se suffit dans mon sac à dos, manger, boire, respirer, dénicher un lieu pour dormir et marcher pour occuper ma vie. Rien d’autre. J’apprends à me passer du confort, ce sacro-saint dont l’humanité s’envahit comme d’une drogue, car oui, messieurs-dames, nous n’avons pas d’électricité, ni d’eau, nous nous baignons dans les rivières, nous nous lavons un jour sur deux ou sur trois, buvons au goulot, enfilons nos chaussettes de la vielle, peignons nos tignasses avec un chapeau et faisons pipi et caca dans la nature.

NIK_7556_edited.jpg

Mais surtout, je comprenais. Je comprenais que ma vie ne devait plus être celle que je vivais, elle n’était pourtant pas désagréable, je possédais tout ce qu’un homme respectable peut envisager, une maison, un travail sympa et bien payé, quelques amis, des distractions, bref, une sécurité, mais je réalisais que j’avais d’autres chemins à emprunter, d’autres voies à découvrir.

Mon chemin de Compostelle

Les carnets de voyage de ma compagne d'aventure, écrits au jour le jour ont donné lieu à l'édition du récit aux Utopik Editions. 

L' histoire passionnante de deux pèlerins sur le chemin de Compostelle.

Confort or not confort ?

«  Moi, je ne pourrais jamais me passer de mon confort », ai-je entendu mainte fois. La société anthropomorphiste nous fournit ce confort au mépris de notre environnement, l'humain doit préserver ses acquis même s'il en coute aux oiseaux. Surchauffer nos maisons, ce qui nous rendra malades en sortant sans notre écharpe, utiliser 150 litres d’eau par jour, bruler du gaz ou du pétrole à foison, utiliser cette frénésie de robots électriques pour découper nos concombres, remplir à ras bord nos piscines qui éblouiront nos voisins, mais que nous n’utiliserons que trois fois dans l’année, tous ces instruments pour que nous nous imaginions préservés par le confort. Ce confort qui nous intoxique, nous incarcère comme le ferait une came puissante et addictive qui coule dans nos veines depuis notre enfance. En couper son cordon nous contraindrait-il à la mort ? Certainement pas, inférioriser son seuil ne nous entraine pas vers une vie austère, mais nous déleste, nous relie à nos valeurs instinctives, nous rapproche de l’animal qui sommeille en nous et de ce que nous sommes. Car, oui, le confort nous déconnecte de la nature, nous qui sommes pourtant nés de cette nature. Aurais-je plongé dans cette belle rivière si je n’avais eu qu’à actionner un bouton de mon thermostat ? Le confort apporte-t-il tant d'avantages à mon esprit ? Quand nous réduisons ce seuil de confort, nous nous rapprochons logiquement des contextes les moins confortables, ceux qui nous font trembler, et pourtant, en nous éloignant de ce confort, nous allons apprendre avec plus de facilité comment résoudre les situations les plus problématiques quand elles se présentent, nous abandonnons nos peurs et nos angoisses, sommes moins perturbés, et plus pragmatiques, rencontrons moins la colère du manque, car nous nous sommes débarrassés de ce fardeau du poids du confort. Nous retrouvons notre immunité naturelle, nous nous envahissons de gratitude et de bonheur à la moindre aubaine. Une douche chaude, une rivière ou une fontaine où nous retrouvons de l’eau, un rayon de soleil réchauffant notre habitacle et rechargeant nos panneaux solaires, ce que le confort banalise et nous aveugle à ne plus percevoir comme des cadeaux, nous l’accueillons comme des bonus à nos vies. Notre confort juste et essentiel.

MA VIE EN VAN SELECTION 1500.jpg

Septembre 2020

Au retour de ce voyage, je ne suis pas au bout de mes surprises.

 

Des experts du chemin m’avaient prévenu : «  Quand tu rentres du chemin de Compostelle, deux alternatives se présentent à toi : tu déprimes ou tu repars ».

Laquelle ai-je vécue ? Je n’ai pas déprimé.

 

Et puis, une femme entrait dans ma vie, une agréable histoire d’Amour allait embellir ma nouvelle vie.

MA VIE EN VAN SELECTION 2 1500.jpg

2021

Changement de vie : La grande décision

Ce chemin me fait prendre conscience du barda que j’ai emmagasiné dans ma vie, bien qu’habitant un meublé, j’ai agglutiné beaucoup trop de choses ces dernières années, comme sur Compostelle, je veux vivre plus légèrement, ne conserver que l’essentiel, ma vie doit prendre une autre direction, je décide de quitter ma maison et me débarrasser de la quasi-totalité de mes affaires; je ne souhaite ni donner à mes amis, ni vendre, j’offre ce que je possède à une association caritative. En janvier 2021, je romps mon bail, et pars vivre avec mon Amoureuse.

C’est une femme merveilleuse qui m’offre une relation sereine, très différente de la précédente, je me sens redevenir un homme, et un être aimé pour ce qu’il est. Ma chérie m’accompagne dans mes road trips avec Charlie, c’est à deux que nous partons découvrir les montagnes et les forêts, elle apprécie et j’aime qu’elle soit heureuse à mes côtés.

 

Mais voilà, je sais que ma vie n’est plus celle-ci, j’ai besoin d’espace, de changement, de vivre en solitaire, je ne me sens pas tout à fait prêt, le bien fondé de la sédentarité m’échappe, j’ai beau planter des fleurs dans le jardin et repeindre la maison, la folie de l’inconnu m’ouvre son chemin, je quitte cette femme si aimante, malgré mon amour pour elle, la peur de la sédentarisation, l'appel des horizons étranges, mon besoin de solitude mettent un terme à notre histoire d’Amour. Je maintiens de bonnes relations avec celle qui aurait pu être… la femme de ma vie.

C’est mon véritable « grand road trip » je vivrai uniquement en Van, totalement en immersion avec la nature, j’ai besoin d’entamer une introspection, 3 mois de solitude, mais pas totalement, je choisis de tester le principe du Woofing, m'engager à la rencontre des humains qui perçoivent la plupart des conceptions différentes de la société et ont jugé utile de vivre leurs rêves. J’installe mon Charlie sur leur terrain, et contemple ce qu’il s'y passe, comment ils s'organisent, je partage leur aventure quelques moments, me questionne sur leur origine, leur destinée, pourquoi ont-ils choisi ce chemin ? J’élargis mes connaissances tel un néophyte. Certaines de ces expériences sont profitables, cependant, j’en reviens déçu. Le principe du woofing est une excellente approche du partage et de la cohésion humaine, d'offrir et d'échanger nos compétences, de recevoir et d’apprendre, hélas, je m’aperçois, tout du moins dans mes expériences personnelles, que ses règles sont rarement respectées, toujours à l’encontre du woofeur. Je continuerai mes expériences en 2022, puis y mettrai un terme, sans regret cependant avec la conviction d’avoir enrichi mes savoirs.

Le wwoofing et la vie en Van ?

wwoofing-definition-1-1280x720.webp

Le WWOOFing (World Wide Opportunities on Organic Farms) est un mouvement créé en 1971 au Royaume-Uni. Conçu initialement pour faciliter les échanges entre les agriculteurs biologiques et les citadins, le principe est basé sur le partage, sans hiérarchie, entre le fermier et le wwoofer, celui-ci offre son aide 25 heures maximum par semaine contre l’hébergement, les repas, et le savoir-faire de son hôte, il n’est pas rémunéré. Si à la base le travail doit être agricole et biologique, le wwoofing s’est étendu à d’autres activités, de nombreux particuliers l’emploient. C’est un excellent moyen de poser les roues de son Van et découvrir la vie des lieux alternatifs, je ne peux que le recommander seulement si les deux parties respectent les règles. Le wwoofing est courant et facile à trouver, il est essentiel de bien définir les conditions d’engagement auparavant (lieu d’hébergement, travail à faire, repas, organisation du temps, avec qui allons-nous travailler), attention, car les abus sont nombreux. La durée peut être plus ou moins longue, c’est donc un excellent moyen de partager la compagnie d’autres êtres humains tout en conservant son petit cocon et sa tranquillité, cependant, il faut l’envisager quand on possède quelques économies, car le wwoofing n’est pas rémunéré, sauf accord ; il sera ainsi contraignant de conjuguer le travail demandé par le wwoofing et un travail extérieur rémunérateur.

ça, c'est Puck

...  le chien de la famille où j’expérimente mon premier wwoofing, ce filou qui a sympathisé avec Amour et ne le quitte plus d’un coussinet est censé surveiller les canards, mais ce p’tit con profite de mon dos tourné à rassembler les canetons pour expédier d’un coup de croc l’un des gros Daffy au paradis des taxons.
PUCK ! .JPG

L'adaptation

Je poursuis mon chemin, je me perfectionne dans l’organisation de mon voyage, cela fait maintenant 4 ans, je commence à devenir un p'tit chef de la vanlife, je sais cependant que j’ai encore tout à apprendre.

 

La fin de l’été et l’automne m’offrent des spots surprenants, je prends un plaisir fou à ne rien faire, moi qui aie travaillé toute ma vie comme un forcené, ce temps de repos m’apaise, je me sens changer, je m'octroie le droit du mérite de cette évolution.

 

C’est l’année de transition et de l'adaptation, j’alterne les locations de maisons de campagne et mes séjours de plus en plus allongés en Van. C’est l’année aussi où je mets un terme décisif à mon activité, une foutue sensation de vide qui m’imposera plusieurs jours d’adaptation, des inquiétudes à calmer, après une vie de travail sans rémission, je vais vivre ma "retraite" ( quel putain de vilain gros mot ) amplement anticipée, un néant que j’ai choisi, certes, mais auquel je dois dorénavant me familiariser, j’ai tout déposé sur le chemin derrière moi, j’en ressens un métissage de plénitude et d’appréhension. Le bien l’emportera-t-il sur le mal ? Je vis désormais au présent, un passé réglé, un futur imprévisible à dessiner sur les routes de mon existence.

 

L’hiver arrive, je m’organise, je le passerai dans des gites, je rencontre d’autres gens, d’autres façons de vivre, des univers variés qui m’offrent d’autres richesses.

C’est mon véritable premier hiver avec Charlie qui n’est pas équipé en chauffage.

MA VIE EN VANS SELECTION 8 1500.jpg

Un nommé Charlie

C'est un enfant qui tire le bras de sa mère et de l'autre pointe du doigt l'arrière de Charlie " oh maman regarde le zoli papillon ". Les gars bronzés du coin à la terrasse du bar où je sirote ma bière : " mais qui est ce Charlie ? " L'automobiliste qui me suit dans la montagne, s'arrête à mes côtés et m'invite à sa soirée-concert parce que mes mots l'ont touché, et tous ces autres avec qui nous avons échangé des conversations hautement philosophiques, preuve est que l'illustration demeure l'une des meilleures interactions humaines.

20211225_145631.jpg

Chacune de ses lettres devenait l’initiale de toutes les choses nourrissant ma nouvelle vie. Le papillon que j'idéalisais enfantin est l’œuvre de l’artiste Tsillia.

Un nommé Charlie
Un nommé Charlie
Un nommé Charlie
Un nommé Charlie
Un nommé Charlie
Un nommé Charlie
Un nommé Charlie
Un nommé Charlie
Un nommé Charlie

Retour à la vie sédentaire ?

La rencontre de cette jolie femme me fera-t-elle retrouver la terre sédentaire ? Le projet est attrayant, m’atteler à la création d’un lieu d’accueil m’a toujours tenté, une petite ferme en Dordogne, pourquoi pas, je pourrai poursuivre mes voyages, je me pose quelques jours. Les expériences de la vie m'ont fait comprendre les choses différemment, ma mauvaise expérience de couple me positionne sur la défensive, les marâtres ne disposeront plus de ma vie. Je prends du recul sur mon histoire naissante en me retirant quatre jours profitables seul avec moi-même, là où les vagues s'échouant sur les falaises m'ouvriront leur liberté, me dénudant la mienne, ma destinée n’est pas là, je reprends mon chemin, celui de ma vie.

Un Charlie mieux adapté

En vivant sur la route, je me suis aperçu de ce qui me manquait et ce dont je n’avais plus besoin, l’aménagement de Charlie est agréable, il me correspond, mais il ne me semble plus adapté à ma nouvelle vie de vadrouilleur davantage assidu. Des rangements plus spacieux seraient les bienvenus et puis un emplacement cosy où je pourrais poser mes fesses. Ces petits meubles vendus sur internet me semblent idéaux, ils sont légers, fonctionnels, à un prix sympa et facilement modulables, quelques modifications suffiront pour qu'ils s’encastrent admirablement dans les mensurations de Charlie. J’établis de nouveaux plans, je déconstruis entièrement l’intérieur hormis le lit, emboite le mobilier un peu comme un kit, j’ajoute des aimants sur les portes coulissantes pour palier aux ouvertures impondérables, j’agrémente d’une décoration de bambou que j'aime bien et des coussins moelleux, je suis plutôt satisfait du résultat, voici mon nouveau petit cocon. Très différent, mais encore plus agréable.

 

Le nouvel aménagement de Charlie plus adapté à la vie d'un nomade accompli

20211224_115150.jpg

L’hiver approche, je ne suis pas encore paré à le passer intégralement en extérieur, bien que j'ai consolidé l'isolation, je n’ai pas équipé Charlie contre le froid ( le chauffage sera l’une de mes faiblesses ), je choisis de louer un petit gite entouré des animaux de la ferme que j'affectionne tant près de Brantôme en Dordogne où je passerais de merveilleux moments avant de repartir prendre la route de plus belle…

20211224_125452.jpg
20211224_122321.jpg
20211110_152941.jpg

Les animaux de la ferme m'aident becs et ergots aux dernières retouches sous l'œil bienveillant du contremaitre Amour le chien. 

Describe what you offer here. Add a few choice words and a stunning pic to engage your audience and get them to click. 

20211110_153343.jpg
20211110_152839.jpg

Describe what you offer here. Add a few choice words and a stunning pic to engage your audience and get them to click. 

20211110_152900.jpg
20211110_162938.jpg

2022

J'exauce l'un de mes rêves

L’un de mes rêves était de ressentir les saveurs d'un ancien moulin. Celui-ci est perdu au milieu de nulle part, sans autres murmures que ceux des animaux, des oiseaux et de l’eau, enveloppé de forêts, c'est un petit paradis, son étang m’invite à la méditation et au recueillement sur la suite de mon aventure naissante, je suis heureux, je m’y plais et il me faut me mettre un sacré coup de pied au cul pour m’en échapper. J'y séjourne quelque temps, mais je dois continuer mon chemin, vivre ma vie sur la route et abandonner mon Eden.

Vers d'autres horizons

En ce début d’année, je n’ai pas véritablement choisi ma destination, j’ai quelques pistes, quelques souhaits de chemins, mais vais-je réellement les prendre ? Pour le moment, je veux tester mes capacités à passer un hiver dans mon camion … Vais-je continuer à vivre la vie que j’ai choisis ?

20220403_180843.jpg

Les 4 films  

Qui me suivent partout

Ceux qui connaissent mon ancienne vie savent aussi que j'étais propriétaire et gérant de vidéoclubs, je me vantais de plus de 30 000 films, mais s'il ne devait en rester seulement 4, ce seraient ceux-là, ils représentent un modèle pour moi, 3 traitent du voyage, mais les 4 ont le point commun de l'évolution vers une vie différente...

l'homme qui voulait vivre sa vie dvd fil
nomadland nomad land dvd_edited.jpg
bottom of page